Le Monde et Les Echos soulignent que, selon des chercheurs américains dont l’étude est publiée dans The Lancet Diabetes and Endocrinology, l’exposition aux perturbateurs endocriniens entraînerait, aux Etats-Unis, 340 milliards de dollars par an de dégâts sanitaires, qu’il s’agisse de l’obésité, du diabète, des troubles de la fertilité ou encore des troubles neurocomportementaux.