Skip links

Qu'est-ce que l'autisme ?

L’Autisme et les troubles du spectre autistique

Dans les classifications internationales, le DSM V et la CIM XI, les différentes formes d’autisme sont regroupées sous le terme de Trouble du Spectre de l’autisme (TSA).

Le TSA fait partie des troubles neuro-développementaux, il est d’apparition précoce et reconnu en France comme un handicap depuis 1996.

Le TSA se caractérise par :

Un déficit de la communication sociale

(déficit de la réciprocité sociale ou émotionnelle, déficit des comportements non verbaux, déficit du développement et maintien de la compréhension des relations).

Un caractère restreint et répétitif

des comportements et des intérêts (mouvements répétitifs ou stéréotypés, intérêts restreints, hypo ou hyper sensibilité aux stimuli sensoriels).

Le diagnostic définit le trouble du spectre de l’autisme en termes d’absence de compétences sociales et de présence de comportements atypiques ritualisés et répétitifs. Mais on trouve de plus en plus souvent dans la littérature, dans la recherche et dans la communauté des personnes autistes la mise en avant d’une pensée différente, en lien avec un plaidoyer pour la neurodiversité.

Le terme de spectre évoque la grande variabilité des caractéristiques au sein du TSA. Contrairement à l’ancienne définition mettant l’accent sur un autisme léger à sévère, la notion de spectre met en avant que différentes facettes de l’autisme puissent être plus ou moins présentes chez un même individu.

En 2023, 1 personne sur 100 naît autiste (Source INSERM). En France on estime à 700 000 les personnes avec un TSA. Un sous-diagnostic peut être constaté chez les filles.

Le TSA se caractérise par :

Un déficit de la communication sociale

(déficit de la réciprocité sociale ou émotionnelle, déficit des comportements non verbaux, déficit du développement et maintien de la compréhension des relations).

Un caractère restreint et répétitif

des comportements et des intérêts (mouvements répétitifs ou stéréotypés, intérêts restreints, hypo ou hyper sensibilité aux stimuli sensoriels).

Le diagnostic définit le trouble du spectre de l’autisme en termes d’absence de compétences sociales et de présence de comportements atypiques ritualisés et répétitifs. Mais on trouve de plus en plus souvent dans la littérature, dans la recherche et dans la communauté des personnes autistes la mise en avant d’une pensée différente, en lien avec un plaidoyer pour la neurodiversité.

Le terme de spectre évoque la grande variabilité des caractéristiques au sein du TSA. Contrairement à l’ancienne définition mettant l’accent sur un autisme léger à sévère, la notion de spectre met en avant que différentes facettes de l’autisme puissent être plus ou moins présentes chez un même individu.

Aujourd’hui, 1 personne sur 100 naît autiste (Source INSERM). L’autisme est caractérisé par un ensemble de symptômes qui se regroupent autour de 3 troubles cumulatifs : communication verbale et non verbale + interactions sociales + comportement (activités stéréotypées avec restriction des intérêts).

L’origine génétique du TSA est aujourd’hui fortement documentée dans la recherche scientifique.

Plus de 250 gènes seraient impliqués dans l’autisme (source : Institut Pasteur), ce qui témoigne de la complexité de l’étiologie.   D’autres facteurs jouant un rôle dans l’étiologie, comme certains facteurs environnementaux, l’impact de certaines molécules prises durant la grossesse sur le développement du fœtus, … ne sont pour autant pas à exclure.

A l’heure actuelle, les approches permettant aux personnes autistes d’évoluer favorablement sont les approches permettant une intervention précoce , les approches éducatives globales, les thérapies cognitivo-comportementales et les approches inclusives.

La personne autiste peut apprendre et évoluer favorablement si l’on tient compte de son fonctionnement cognitif différent.

A l’heure actuelle, les approches permettant aux personnes autistes d’évoluer favorablement sont les approches permettant une intervention précoce , les approches éducatives globales, les thérapies cognitivo-comportementales et les approches inclusives.

La personne autiste peut apprendre et évoluer favorablement si l’on tient compte de son fonctionnement cognitif différent.

À retenir

Le terme de trouble du spectre de l’autisme (TSA) remplace à présent “trouble envahissant du développement”.

Le TSA n’est pas généré par des conduites parentales inadaptées, mais par un fonctionnement neurologique différent.

Il n’est pas rare.

Les personnes autistes bénéficient fortement des approches cognitivo-éducatives, dès la plus petite enfance et encore à l’âge adulte.

Grâce à leur pensée différente, elles amènent dans notre société des valeurs de franchise, d’intégrité et de persévérance.

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience.